Seleção – Coupe du Monde 2022 : Les barrages, comment ça marche ?

Après sa défaite face à la Serbie, la Seleção devra passer par les barrages afin d’espérer une qualification pour la prochaine Coupe du Monde. Des barrages, qui ont connu d’importantes modifications.

Déjà barragiste face à la Bosnie et la Suède pour les Coupe du Monde 2010 et 2014, la Seleção va devoir repasser par cette case pour espérer participer à la prochaine compétition, qui aura lieu au Qatar en 2022. Un système de barrages qui sera, cette fois-ci, différent du système traditionnel. Fini les matchs aller-retour, sur les douze équipes qualifiées pour ces barrages, seules trois obtiendront leur billet pour le Qatar.

Douze barragistes pour trois places

Désormais, les douze équipes seront réparties en trois voies différentes. Il y aura ainsi six demies-finales et trois finales pour déterminer les trois derniers qualifiés de la zone Europe. Des rencontres qui se joueront sous haute tension, sur un match unique. Les six meilleures équipes durant la phase de qualification seront les têtes de série lors du tirage au sort, et recevront les matchs des demies-finales, qui auront lieu les 24 et 25 mars 2022. Les six vainqueurs des demi-finales accèderont ensuite aux finales, qui auront lieu les 28 et 29 mars 2022.

La Seleção connaîtra ses deux potentiels futurs adversaires lors du tirage au sort qui aura lieu à Zurich, le 26 novembre prochain, qui déterminera également les trois pays dans lesquels auront lieu les finales.

Un nouveau système bien plus exigeant

Après sa déconvenue face à la Serbie, la sélection portugaise devra ainsi se mesurer à ce nouveau format des barrages. Un nouveau dispositif plus compliqué que le précédent, puisque chaque barragiste devra se défaire de deux adversaires lors de deux matchs couperets pour espérer faire partie de l’aventure au Qatar en 2022. La Seleção devra, ainsi, dévoiler un tout autre visage que celui qu’il a montré cette semaine, au cours des deux contre-performances réalisées contre l’Irlande et la Serbie.

Crédit photo : IconSport

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